VOILA DE QUOI SONT CAPABLE LES GRANDS RÉGULATEURS, TUER LA MÈRE ET LAISSER LES FŒTUS
HONTE ET HORREUR.
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VOILA DE QUOI SONT CAPABLE LES GRANDS RÉGULATEURS, TUER LA MÈRE ET LAISSER LES FŒTUS
HONTE ET HORREUR.
*DES VEAUX PARQUÉS : Le projet prévoit d’entasser 15 à 16 veaux par
case (64 cases, 1000 places). Combien en comptez-vous sur les photos ?
De plus les animaux sont actuellement «maigres», dans quelques mois, ils
auront doublé leur poids !
Il est aberrant et mensonger de montrer
une structure de 1000 places contenant 400 animaux, en prétendant que
les animaux ont de l’espace. Autant dire que le métro parisien est
spacieux, lorsque vous le prenez à 5h du matin !
L’autorisation a
été donné pour 1000 places, sans l’intervention de L-PEA, soyez certains
qu’il y aurait déjà 1000 Veaux dans l’Usine, à l’heure actuelle. Les
actionnaires ne parlent de 800 veaux qu’en rapport avec le nouveau
décret qui leur permet de contourner les décisions de justice.
Croyez-vous qu’ils vont gaspiller 200 places, avec un client aussi
exigeant qu’Intermarché ?
*DES VEAUX GAVÉS à base de composés
industriels et de paille : Il s’agit d’engraissement intensif puisque
l’objectif est de doubler le poids de l’animal en 7 à 8 mois, contre 36
mois en pâturage. Les effets sur le corps des bovins sont, en partie,
similaires à ceux observés chez les canards pour la production de foie
gras. Voici les pathologies dont souffrent les veaux avec ce type
d’engraissement : Sensation perpétuelle de « crise de foie » à cause de
la nourriture contre-nature extrêmement riche. On rajoute de la paille
pour la rumination et faire du volume dans la panse sinon les veaux
mourraient d’intoxication en une semaine avec un tel régime. Douleurs
aux articulations dues à la prise de poids excessive et contre-nature.
Fourbure. Sudation excessive et problèmes de peaux. Problèmes aux reins
et urinaires : L’aliment donné est rempli de toxines qui sont éliminées
par les reins.
*DES VEAUX EGORGÉS EN PLEINE CONSCIENCE A + DE
500 KM : Fait enfin reconnu par les actionnaires, les veaux seront
transportés à plus de 500 km de la Creuse, pour être égorgés en pleine
conscience, à l’abattoir de la SVA Jean Rozé, en Ille et Vilaine.
*DES VEAUX GAVÉS D’ANTIBIOTIQUES : A l’instar de tout élevage intensif
qui suppose le confinement d’animaux issus de différentes
exploitations, l’utilisation d’antibiotiques est préventive et
automatique pour éviter les épidémies.
*DU CIRCUIT COURT ?
Les aliments proviennent de l’extérieur du département, les veaux sont
transportés sur plus de 500 km pour être abattus.
*SYSTÈME
D’INTÉGRATION ! Intermarché client unique et actionnaire, tient les
éleveurs pieds et poings liés. Le prix fixe d’achat tient-il compte de
l’évolution du prix des céréales ?
*DES PETITS ÉLEVEURS ?
Vous connaissez beaucoup de petits éleveurs capables d’une telle
communication ? Capables de faire pression sur les médias ? Capables
d’obtenir un décret du Ministère sur mesure et de contourner des
décisions de justice ? Capables de capter toutes les subventions
publiques de la région et du département ? Qui concentre ce pouvoir ? LA
FNSEA ! Mais pas seulement ! Les premiers actionnaires de la SAS
Alliance Millevaches sont les suivants (jugez par vous-mêmes) : Pierre
Chevalier, ex président de la Chambre d’Agriculture de Corrèze et de la
Fédération Nationale Bovine (FNB), André Alanore, Directeur de la même
Chambre, Pascal Lerousseau, président de la FDSEA 23 et de la Chambre
d’Agriculture de la Creuse, Dominique Langlois, président de la SVA Jean
Rozé (actionnaire) et d’INTERBEV… Des petits éleveurs ?!
*DE LA VALEUR AJOUTÉE ? La seule finalité économique de ce projet est la
production d’électricité (photovoltaïque) et de gaz (méthanisation) !
Comment peut-on parler de valeur ajoutée lorsque l’on n’est pas capable
de produire la moindre étude à ce sujet !?
Plus d'Infos : https://l-pea.org/ferme-usine-des-1000-veaux/
Lorsque surviennent des intempéries, les médias formatés décrivent complaisamment les inondations, les routes verglacées, les rues enneigées, le petit ou
grand froid, les sécheresses persistantes, le vent dévastateur, sans jamais mentionner les effets de ces calamités sur la faune.
Un lotissement immergé, des automobilistes en difficulté, des gamins jouant dans la neige, des viticulteurs sinistrés feront l’objet d’interminables reportages
parfaitement interchangeables.
Mais l’incidence du froid, de l’enneigement, du gel des plans d’eau sur l’avifaune n’atteint jamais l’esprit étriqué des informateurs radotant.
Les médias demeurent sinistrement anthropocentriques et nullement biocentriques.
Nulle campagne d’incitation à nourrir les oiseaux en hiver. Ceux qui le font constatent un fait inquiétant. En alimentant forces mangeoires, comme je m’y
adonne depuis suffisamment d’années, on mesure la raréfaction de la nature ordinaire, celle de nos parcs et jardins et,plus encore, celle des campagnes
empoisonnées par l’agrochimie.
L’humain se mue en animal dénaturé, arraché de sa condition d’être vivant, il habite dans des espaces artificialisés, des univers de béton, d’acier et de
verre, dépourvu de toutes formes de vies.
Qu’est-ce qui est le plus préoccupant dans l’univers urbain ?
La pollution ? La violence ? La ségrégation ethnique ?
Sans doute.
Mais ce qui frappe un observateur éveillé, non conditionné au nombrilisme spéciste, c’est la disparition du vivant.
Ce qui signe l’échec de notre civilisation, pas moins, tient à la disparition, dans les villes hostiles à la vie, des moineaux domestiques qui cohabitèrent
avec les hommes durant des siècles.
Les villes deviennent des déserts d’avifaune et vous rencontrerez des hommes « nuisibles » pour ânonner que les pigeons, les moineaux et autres compagnons
ailés souillent, propagent des maladies.
L’idiotie et les préjugés totalement infondés ne sont pas propagés par les oiseaux !
Pour les obscurantistes, les oiseaux ne servent à rien, les renards envahissent les périphéries des métropoles, les sangliers prolifèrent, les loups persécutent
les bergers et l’homme peut aseptiser la terre pour satisfaire ses pulsions de domination, son culte du profit maximisé, pour répondre à ses besoins de
violences traditionnelles.
Toutes ces idées reçues, propagées à dessein par les lobbies contre nature, sont fausses.
En marge des médias formatés, sachons que l’important, c’est l’oiseau et qu’il faut, en présence d’une innovation technologique, d’un phénomène climatique,
d’un mode de production ou d’un loisir, s’interroger sur leurs conséquences pour les autres formes de vies avec lesquelles nous partageons la terre.
L’humain est criminel d’électrocuter les grands oiseaux, de piéger les passereaux cavernicoles dans les poteaux métalliques creux du téléphone, de tracer
des routes en bordure de marais, de disperser des biocides dans ses cultures, de transformer les forêts en usines à bois et les montagnes en parcs à moutons,
d’exploiter et de croître au détriment des autres espèces.
Puis, il y a les sadiques qui « aiment jeter du plomb dans les arbres qui chantent » (Edmond ROSTAND) et tous ceux qui par paresse morale considèrent que
les tueurs participent du décor sociologique et que la chasse, la guerre, la tauromachie sont des fatalités auxquelles il convient de se résigner pour
ne pas encourir le risque d’être étiqueté extrémiste .
Une révolution culturelle s’impose : il faut désormais penser à la nature.
Le poète et le scientifique ont raison : l’important, c’est l’oiseau.
Gérard CHAROLLOIS
CONVENTION VIE ET NATURE
MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE
POUR LE RESPECT DES ÊTRES VIVANTS ET DES EQUILIBRES NATURELS.