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  • Chaque jour, c'est Auschwitz pour les Animaux !

     

     

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    Il s’agit de la lettre que le prisonnier Edgar Kupfer-Koberwitz a écrite à un ami alors qu’il se trouvait à Dachau à endurer toutes les atrocités et que la mort se saisissait des prisonniers du camp jour après jour.

     

    "Cher ami,

     

    Tu me demandes pourquoi je ne mange pas de viande et pour quelle raison j’agis de la sorte. Peut-être penses-tu que j’ai fait vœu de pénitence qui me prive de tous les plaisirs glorieux de manger de la viande. Tu penses aux steaks goûtus, aux poissons savoureux, aux jambons parfumés, aux sauces et autres mille merveilles qui font le délice des palais humains : pour sûr que tu te souviens de la délicatesse du poulet rôti.

    Tu es surpris et tu demandes : Mais pourquoi ? Et pour quelle raison ?

    Tu t’interroges avec une curiosité extrême et tu penses deviner la réponse.

    Mais si moi, à présent, j’essaie de t’expliquer la véritable raison en une phrase concise, tu seras à nouveau surpris en découvrant combien tu es loin du véritable motif.

    Ecoute : je refuse de manger des animaux, car je ne peux me nourrir de la souffrance et de la mort d’autres créatures.

    Je refuse de le faire parce que j’ai tellement souffert que les souffrances des autres me renvoient à mes propres souffrances.

    Je sais ce qu’est la félicité, et ce qu’est la persécution. Si personne ne me pourchasse, pourquoi devrais-je pourchasser les autres êtres ou m’arranger à ce qu’ils le soit ? Je sais ce qu’est la liberté et ce qu’est la captivité.

    Je sais ce qu’est la protection et ce qu’est la souffrance.

    Je sais ce qu’est le respect et ce que c’est que de tuer.

    Si personne ne me veut du mal, pourquoi devrais-je faire du mal à d’autres créatures ou permettre qu’on leur en fasse ?

    N’est-il pas naturel que je n’inflige pas à d’autres créatures ce que j’espère on ne m’infligera pas ? Ne serait-ce pas extrêmement injuste d’agir ainsi pour un motif physique superflu au détriment de la souffrance d’autrui et de la mort d’autrui ?

    Ces créatures sont plus faibles et plus fragiles que moi. Peux-tu seulement imaginer qu’un homme doté de raison et de nobles sentiments veuille baser sur cette souffrance la revendication ou le droit de pouvoir abuser de plus faible et de plus petit que lui ? Ne crois-tu pas que ce soit précisément le devoir du plus grand, du plus fort, du supérieur que de protéger les créatures plus faibles au lieu de les persécuter et de les tuer ?

    Je me souviens de l’époque horrible de l’Inquisition et je regrette devoir te dire que le temps des tribunaux contre les hérétiques n’est pas terminé, que jour après jour, les hommes cuisinent dans de l’eau bouillante d’autres créatures, qui ont été mises, impuissantes dans les mains de leurs bourreaux.

    Débattant, souriant, proposant de grandes idées et faisant de beaux discours, l’Européen moyen commet chaque jour toute sorte d’atrocité, non parce qu’il y est contraint, mais parce qu’il le veut bien. Non pas, que la faculté de réflexion, la prise de conscience des choses horribles, lui fasse défaut. Oh ! Que non. Il ne veut pas se rendre à l’évidence, faute de quoi, il en serait molesté et dérangé dans ses plaisirs.

    Je sais que les gens considèrent certains actes en relation avec la boucherie comme étant inévitables. Mais cela est-il vraiment nécessaire ? La thèse peut être contestée. Peut-être existe-t-il une sorte de nécessité pour ces personnes qui n’ont pas encore développé une pleine et consciente personnalité. Je ne leur fais pas de sermons, je t’écris à toi une lettre, je l’adresse à un individu responsable qui maîtrise de manière rationnelle ses pulsions, qui est conscient de ses actes, qui sait que la Cour Suprême est notre conscience et qu’il n’y a pas voie de recours.

    Est-ce nécessaire qu’un homme responsable soit contraint de bouchoyer ?

    Si tel était le cas, chaque individu devrait avoir le courage de le faire de ses propres mains. Ce n’est pas juste de payer autrui pour exécuter ce travail taché de sang alors que l’homme normal en serait horrifié et choqué.

    Je pense que les hommes seront tués et torturés aussi longtemps que les animaux seront tués et torturés. Je pense qu’il y aura toujours des guerres, car l’éducation et le perfectionnement dans le fait de tuer doit être appliqué moralement et pratiquement sur des êtres faibles. Je pense que les prisons existeront tant que les animaux seront encagés. Car pour mettre les prisonniers en cage, il faut s’entraîner et se perfectionner moralement et pratiquement sur des êtres sans défense."

  • POUR UN NOEL SANS SACRIFICES

     

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    "Nous tous les animaux avons le don magique de sentir que nous existons.

    Les cailloux et les trains, les tubercules et les fruits, ne savent rien de la douceur de l'air et de la caresse de l'eau, ni n'éprouvent l'émotion de se frotter les uns aux autres.

    Mais pour nous, les animaux, la vie peut être belle.

    Ce sera bientôt notre fête ?

    Les guirlandes sont prêtes, et les couteaux, les cages, les gourdins, les cadeaux.

    Bientôt on goûtera plus fort qu'à l'habitude la joie d'être réunis.

    Bientôt pleuvront les coups plus forts qu'à l'habitude.

    Et les « paix sur la terre » et les « voeux de bonheur » vogueront

    tranquillement sur une mer de sang plus large qu'à l'habitude.

    Beaucoup des animaux iront au grand festin : les vivants autour de la table et les morts posés au milieu.

    Car le monde, dit-on, est fait de deux moitiés, l'une née pour régner et l'autre pour périr.

    Joyeux Noël, pour qui ?

    Il y aura des sapins, des gentils Pères Noëls, des crèches avec un boeuf et un petit enfant.

    Le boeuf ne humera ni sapins ni paille.

    Il aura le souffle rauque de la bête qui s'affale ; la vie s'échappera par sa gorge tranchée ; ensuite les Pères Noël partageront sa dépouille avec les petits enfants.

    Pour qui, la bonne année ?

    Bientôt la Saint Sylvestre, la nuit des bons vivants aux ventres de cimetière.

    Porcelets qu'on ampute de la queue et des dents, veaux traînés à genoux vers le dernier voyage, vous tous les mutilés, les emprisonnés, les asphyxiés, les gavés, les électrocutés, les éventrés, à quoi bon vous débattre ?

    Les bons vivants à la voix mélodieuse couvrent déjà vos cris.

    Ils parlent de terroir et de nappes à carreaux, chantent les bonnes mains calleuses (qui tiennent les tenailles, les embucs, les filets), et le talent immense d'exciter les papilles en cuisinant des morts.

    Ou tu parles comme eux ou tu es un peine-à-jouir.

    Pour être de la famille,il faut organiser...

    ... la communion dans le sang !

    Noël ou Nouvel an sans dinde, sans foie gras, sans saumon, sans homard, sans huîtres, sans gibier, sans mousse de canard, sans langouste, sans boudin blanc, sans caviar...

    il manquerait l'essentiel !

    Avoir des invités et n'offrir point de viande, cela ne se fait pas.

    Voyons ce sont nos hôtes, il faut leur faire honneur, leur prouver notre estime, se montrer accueillants !

    Macabre communion au prix d'un sacrifice. Vois combien je t'honore, j'ai immolé pour toi des

    victimes sans compter. Tu es bien mon égal, tu es digne comme moi de moissonner les vies de ceux de l'autre moitié.

    En ces temps généreux, les plus pauvres des élus ne seront pas oubliés.

    Aux réveillons humanitaires, eux aussi recevront leur rondelle de foie gras.

    Puis on les renverra se geler dans les rues, tout oints de dignité.

    Et moi, je me mets où ?

    Moi qui n'ai ni plumes, ni fourrure, ni écailles, je suis par ma figure de la race des saigneurs.

    Comme je voulais leur plaire, qu'ils m'acceptent parmi eux, j'ai fait mine de croire la fable des deux moitiés.

    Je savais tout comme eux savourer le goût du meurtre et rire grassement des cadavres exquis.

    Mais c'est trop cher payer ma place parmi les leurs.

    J'aimerais encore qu'ils m'aiment et pouvoir les aimer, mais je vois trop clairement qu'ils écrasent de sang froid ceux de l'autre moitié, qui sont aussi les miens.

    Plus jamais je ne serai du côté des bourreaux.

    Le jour du grand festin, s'il n'y a que deux camps, je choisis l'autre côté.

    Éventrez-moi vivante comme les autres esturgeonnes.

    Explosez-moi le foie comme aux autres canards.

    Arrachez mes testicules comme aux autres chapons.

    Ecartelez-moi comme les autres grenouilles.

    Ébouillantez-moi comme les autres homards.

    Que vos dents souriantes mettent ma chair en lambeaux comme celle des autres dindes, veaux, chevreuils et saumons.

    Faut-il vraiment choisir entre le pire et le pire ?

    Rejoindre les suppliciés qui vont agoniser, abandonnés de tous ; ou bien les assassins qui poussent vers l'abattoir, la face ricanante qui déjà se pourlèche ?

    Non, non, non, non !

    Je dénonce !

    Je dénonce le médiocre et lâche procédé de mépriser autrui pour mieux se rassurer sur sa propre importance.

    Je dénonce la communauté bâtie sur l'exclusion.

    On peut créer des liens autrement qu'en étant complices des mêmes crimes.

    Oublions l'odieux mythe du monde à deux moitiés, la sinistre machine à fabriquer le malheur.

    Je veux qu'existent en vrai les Pères Noëls gentils, et la paix sur la terre, et la fraternité.

    Que puisse s'épanouir la chaleur animale et la joie d'exister des porcelets joueurs, des canards amoureux et des humains bavards.

    Pour nous tous, les animaux, la vie peut être plus belle.

    Que commence enfin la fête pour de vrai, la fête sans sacrifices !"

     

     

  • REQUIEM POUR LES PETITS SACRIFIES DE LA PROTECTION ANIMALE...


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     Amis animaux de la SPA, Charly, Tank, Victor, Suzy, Léonard, Valto et tous les autres,  les sans noms ou les milliers de minous dont nul ne parle et dont on se "débarasse" en silence, tous les euthanasiés pour "faire de la place" (3107 "eutha refuges pour 29 418 "adoptions nettes", selon les stats SPA 2008), tous les morts de froids des refuges non chauffés, les mal soignés, les meurtris couverts d'escarres à même le ciment de leur box, les trop vieux et les pas assez beaux, les "caractériels" fous d'enfermement,  à vous tous les jamais consolés, jamais caressés, jamais toilettés et  de moins en moins promenés, suite à la chasse aux bénévoles, ces emmerdeurs incorrigibles avec "leur amour des animaux" et leur liberté de parole, à vous tous et à tous les autres, mes petits anges JE DEMANDE PARDON !!!

    Amis animaux de la SPA, mes petits amours, c'est agrippée à notre modeste blog EUROPE ANIMAL PROTECTION, menacé de mort brutale dans la tempête judiciaire, que je vous écris avec toute la ferveur dont je suis capable. Amis animaux vous, comme mes amis et moi  vos protecteurs, ne sommes perçus que comme des perturbateurs et comme un boulet que l'on traine, par les détenteurs de tous les pouvoirs et de tous les bénéfices de la SPA : salariés du siège social, administratrice judiciaire, ministère dits "de tutelle" et autres DPP (ex DSV direction des services vétérinaires) qui, en guise de recherche de vraies solutions pérennes pour cette association âgée de plus de 160 ans, ne trouvent pour tout argument à nous opposer que celui-ci : "Ras le bol de tous ces bisbilles entre salariés et bénévoles !". 
    C'est dans ce contexte que l'administratrice provisoire de la SPA en fourrure, a pris le mors aux dents (avec quelques dames du très chic milieu équestre) : "SI LES BENEVOLES NE SONT PAS CONTENTS, ILS PEUVENT PARTIR ! " répète-t-elle à qui veut l'entendre depuis le 21 janvier, de réunions en assemblée générale, en grand ou en petit comité... Fichtre.
    C'est ainsi que, fraîchement débarquée depuis un an dans les embrouilles et les dysfonctionnements de la SPA pointés par la Cour des comptes, l'Administratrice investie de TOUS LES POUVOIRS, a décidé de trancher dans le vif et de mettre fin à 160 ans de bénévolat ! Et c'est ainsi que la plus célèbre et la plus riche association de Protection Animale en France se trouve désormais prise en tenaille entre un projet plus ou moins avoué de "Fondation", des fermetures de refuges programmées, des restrictions budgétaires sur les soins, l'hébergement et la nourriture des animaux, des licenciements d'agents animaliers, des embauches de "cadres" contestées et contestables sans appel à candidature et last but not least l'application sans état d'âme D'UNE LOGIQUE DE LIQUIDATION D'ENTREPRISE pure et simple ... En un mot, le REMEDE préconisé par les pouvoirs publics, c'est à dire les ministères de tutelle (en fait  de l'INTERIEUR) se révèle PIRE QUE LE MAL. Ainsi que nous l'écrivions dès le mois de janvier dernier, la pauvre SPA, faute du moindre plan de sauvetage véritable, se retrouve ainsi ballotée de CHARYBDE en SCYLLA !!! 

    Et nos amis les animaux dans tout celà ??? 

    A cette question lancinante que répètent en boucle les bénévoles ainsi que quelques salariés de terrain dans les refuges, nous ne savons plus que répondre dans notre impuissance à inverser le cours des choses et nous n'avons plus qu'une envie : demander PARDON  à nos petits abandonnés et maltraités,  pour n'avoir pu ni n'avoir su ramener l'association aux fondamentaux de son objet social, l' article 1 des statuts : SAUVER, PROTEGER, AIMER. 

    PARDON aux chiens de Gennevilliers qui, en ce nouvel hiver rigoureux grelottent au fond de leur box humide, tandis la direction faisant semblant d'être pauvre et vertueuse, quémande l'aumône de quelques couvertures sur le site officiel SPA. Comment croire qu'avec un budget de DEUX MILLIONS D'EUROS et un refuge en net SUR EFFECTIF (40 pers environ, dont quelques feignants patentés et reconnus par la direction), comment croire en effet qu'un tel site ne peut faire d'urgence l'acquisition d'un lot de couvertures polaires au tarif associatif ?

    PARDON aux chats de Gennevilliers, Sarreguemines, Liévin et autres nombreux refuges, que l'on maintient dans des "modules" de 70 cm durant des semaines voire des mois, c'est-à-dire au-delà du supportable, sans câlins ni attention particulière, couchant souvent dans leur litière souillée avant de "disparaître" un beau jour sans que nul à la SPA ne s'en émeuve.

    PARDON aux si nombreux chiens et chats victimes d'infections suite à une simple stérilisation ou MORT par suite de refus de soin ou d'erreur de diagnostic, ou encore victimes d'atroces souffrances suite à une opération pour laquelle une vétérinaire avait économisé sur la dose de produit anesthésiant, provoquant ainsi le réveil de l'animal avant la fin... un simple récit des faits qui nous fait froid dans le dos. En tête de ce honteux palmarès : le DISPENSAIRE DE LIEVIN. Preuves et témoignages à l'appui.

    PARDON aux innombrables animaux qui n'ont plus grand monde pour les réconforter  ni pour les aider à se dégourdir un peu les pattes à Gennevilliers, Sarreguemines, Arry, Thionville, Luynes ou Brugheas (liste loin d'être exhaustive !) à cause de la fuite des bénévoles écoeurés, découragés ou purement et simplement INTERDITS DE REFUGES : une détestable spécialité SPA ! On veut brimer les bénévoles et c'est évidemment nos petits compagnons de galère qui morflent !!! Cette chasse aux bénévoles soumis à l'arbitraire d'un petit chef est l'un des plus grands scandales de la SPA.

    PARDON aux chiens d'Orgeval promis à un "dispatching" plus ou moins hasardeux, sous prétexte de plainte pour nuisances sonores dans le voisinage, mais surtout parce que l'ex-présidente POCQ SAINT JEAN, forte de l'appui et du favoritisme de son amie Maître Lebossé, a décidé de régner sans partage sur "son" fief d'Orgeval, où elle fait une apparition bavarde de temps en temps pour venir "se ressourcer" et se distraire de sa vie oisive entre copines et cigarettes... MISS POCQ déclare n'aimer QUE LES CHATS (mais pas au point de nettoyer la moindre litière...). MISS POCQ n'aime pas les chiens et ne supporte plus le chef de refuge, qu'elle a tenté de faire licencier malgré son expérience et son ancienneté : miss POCQ fort heureusement, a fait CHOUX BLANC sur ce coup-là , grâce au vote négatif du Comité d'entreprise ! M°Lebossé ira-t-elle jusqu'à proposer Miss POCQ SAINT JEAN pour être la future présidente de la future Fondation  en gestation plus ou moins secrète? On raconte par ailleurs que la blonde ex-future présidente serait dans les meilleurs termes avec le nouveau Dégé, ce qui présagerait à n'en pas douter une très  étroite collaboration ! "Manuel" au bureau directorial et "Virginie" au milieu de SA chatterie d'Orgeval, telle Marie-Antoinette en sa bergerie à Versailles. Décidément, la vie est pleine de surprises...

    PARDON  à tous ceux qui ont soudain "disparu" d'un refuge à Luynes, (qui détient la palme  avec 313 euthanasies/an pour 811 "adoptions nettes"), à Genneviliers, à Sarreguemines ou ailleurs et dont nous SAVONS qu'ils n'ont pas été adoptés... malgré les mensonges. Pardon à ceux qui ont été PRIVES D'UNE ADOPTION car les visiteurs n'ont reçu ni l'accueil aimable, ni les conseils indispensables pour une action aussi importante que la prise en charge d'une nouvelle petite vie en famille. Tant de visiteurs un peu partout SONT REPARTIS SANS L'ANIMAL qu'ils souhaitaient...

    PARDON aux centaines de chiens et de chats, qui seront dispatchés suite à la fermeture programmée d'une demi-douzaine de petits refuges, dont les noms circulent déjà et surtout PARDON à tous ceux qui ne seront plus jamais accueillis, ni sortis de leur horrible fourrière après le délai légal... chacun parmi nous connait la suite. Et encore merci au "nouveau" directeur des refuges (qui est aussi Dégé), ainsi qu'à son équipe de zélés "Cost Killer" (chasseurs de coûts) du siège social de cette asso qui jouit encore du statut de Société Protectrice des Zanimos... en attendant de tout rentabiliser concernant les animaux, sauf bien sûr les gros salaires du siège social et le SUR EFFECTIF de ce dernier (90 bureaucrates  salariés env.) et du refuge de Gennevilliers notamment.

    PARDON à tous ceux qui ne sont et ne seront plus stérilisés, ni accueillis, ni sauvés de la maltraitance, ni soignés, ni nourris malgré les dispositions expresses du FABULEUX LEG DEBAT en faveur des personnes économiquement faibles. Une question à poser d'urgence à l'administratrice provisoire : ET QUE DEVIENDRA LE LEG DEBAT DANS LA FUTURE FONDATION ? LES VOLONTES DE MONSIEUR DEBAT SERONT-ELLES RESPECTEES ? Question subsidiaire : saura-t-on un jour A COMBIEN S'ELEVE LE MONTANT DE CE LEG dont la SPA n'utilisait jusqu'à présent que les intérêts?
     
    Chaque protecteurs et chaque protectrice des animaux de la SPA pourrait ainsi établir sa propre liste à l'infini, sans que soit pourtant éradiquée cette indéfinissable "malédiction" qui a frappé et frappe encore l'association. Nous avons beaucoup cherché, dénoncé, argumenté et débattu sur ce blog menacé d'être définitivement réduit au silence, par la volonté d'UNE SEULE PERSONNE habitée par un sentiment de toute puissance et venue d'un univers aux antipodes de nos engagements basés sur l'amour des plus faibles. En cas de mort subite et forcée, ce blog restera comme un moment et un espace de liberté, que nous continuerons à cultiver . "Ils " peuvent bien réussir à fermer notre BLOG PREFERE et nous pousser à la ruine, mais JAMAIS ils ne pourront éteindre la flamme qui nous anime !!!

    Enfin, chers amis internautes, quoiqu'il en soit, restons mobilisés jusqu'à un prochain rendez-vous Pour Une Vraie Protection Animale ...
  • La vie harassante de quelques pauvres types!

    Chasse / Pour tromper les pigeons ils travaillent dans les arbres 

    Publié le jeudi 09 décembre 2010 à 10H36

    Jerry Bernard           et Stéphane Poirrier sont régulièrement sollicités pour           installer des postes de chasse. 

    Jerry Bernard et Stéphane Poirrier sont régulièrement sollicités pour installer des postes de chasse.

    AISNE. Deux entreprises viennent  d'être réunies pour installer  des postes  de chasse  aux pigeons  dans les arbres. Une aventure  qui prend  de la hauteur.

    A Vaucelles-et-Beffecourt, près de Laon, la scène est insolite : un homme casqué tend un câble dans un arbre. La corde se tend et il escalade le tronc à la force de ses bras et de ses jambes. Bientôt, il se trouve à trente mètres de hauteur. Sa silhouette est masquée par des branches. La performance est physique, mais elle repose d'abord sur un pari économique.
    Deux entreprises, « Stop nuisibles » à Laon et « J.B. Nature » à Dercy, se sont unies depuis quelques jours pour répondre aux besoins des chasseurs de pigeons ramiers. Ils sont souvent désireux de disposer d'un aménagement dans les cimes, destiné à accueillir un appelant. Ce pigeon attaché, bouge les ailes comme s'il était en liberté sur un dispositif mobile, ressemblant un peu au râteau d'une antenne de télévision.
    En bas, le tireur embusqué n'a plus qu'à viser à une vingtaine de mètres les migrateurs se trouvant au début de leur passage à des kilomètres.

    Un duo soudé

    Ils sont finalement attirés par leur camarade. Cette phase, basée sur la ruse, est déterminante. L'animal sauvage est trompé naturellement. Une lutte psychologique s'engage donc dans les airs et son issue est souvent incertaine.
    Les deux associés misent donc sur l'attrait de la chasse pour se développer. Stéphane Poirrier et Jerry Bernard sont déjà sollicités pour travailler dans d'autres départements. Rien de plus normal, il n'y a pas beaucoup de candidats pour se hisser par tous les temps dans la haute profondeur des plantes. Stéphane et Jerry sont vraiment complémentaires. Appartenant à la même famille, d'une façon éloignée, ils se comprennent sans se parler.
    « C'est une histoire de passionnés. Je suis attiré par la chasse aux pigeons et lui par la grimpette » explique Stéphane. Jerry ajoute : « Pour moi, le plaisir rejoint le travail. »
    Ils travaillent en silence. Chacun veille à l'autre. Leurs gestes sont précis et méthodiques. L'un goûte au bonheur de l'escalade et l'autre à la satisfaction d'agir pour tromper les ramiers, une espèce qu'il admire, un adversaire résistant et méfiant.

    Thierry de LESTANG PARADE



  • TELETHON? NON A LA TORTURE!

     

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    Chaque décembre des millions d'euros sont donnés au Téléthon. Une grande portion de ces dons est investie dans les projets de l'expérimentation animale pour la "recherche" sur les maladies génétiques. Résultat : En dépit - ou justement à cause - des intensives recherches sur les animaux, soutenues au cours des dernières décennies avec d'énormes moyens, et malgré de nombreuses annonces de succès par les expérimentateurs, pas une seule maladie génétique n'est guérissable sur la base des expériences sur les animaux. A cause des différences fondamentales entre les espèces et leurs métabolismes, les expériences sur les animaux ne permettent pas de déductions utiles et fiables pour les humains. En outre, une "maladie" induite artificiellement et de force à un animal n'est pas comparable à une maladie génétique qui survient naturellement et spontanément chez un humain. En fait, la fixation sur l'expérimentation animale inutile et non fiable garantit que les maladies génétiques restent incurables. Nous avons besoin d'une nouvelle génération de chercheurs qui renoncent aux expériences sur les animaux et qui se concentrent sur une médecine véritablement humaine. Afin de réaliser de vrais progrès dans le soulagement, la guérison et la prévention des maladies graves, les chercheurs doivent se concentrer sur les méthodes utiles et fiables qui s'appliquent directement aux humains.

    Dr méd. Dr phil.Christopher Anderegg,

    http://www.animalexperiments.ch/

     

     

    Propagande pleurnicharde dans Ouest France :
     

    Extrait :

    "Avec ses compères Karl Rouger et Thibaut Larcher, chercheurs également, il a réussi à guérir le chien (encore en observation aujourd'hui), en pariant sur une thérapie à base de cellules souches provenant du muscle. L'Association française contre les myopathies (AFM) a donné 300 000 € aux scientifiques, soit 30 % du budget total de leurs travaux depuis deux ans. « Sans cette aide, nous n'aurions pu mener à bien ce projet. À l'année, par exemple, un chien, et nous en avons plusieurs, coûte 15 000 € : il demande des soins particuliers. »"


    Téléthon / AFM = Vivisection

      "Situé dans l’Ecole Nationale Vétérinaire de Nantes, le centre d’expérimentation animal de Boisbonne est particulièrement bien adapté au développement des génothérapies. Ce centre héberge, outre des macaques, plusieurs modèles canins de maladies génétiques orphelines spontanées comme la myopathie (GRMD), les mucopolysaccharidoses (MPS) de type I, VI et VII et la rétinopathie dégénérative, ainsi qu’un modèle félin d’amyotrophie spinale. La capacité d’hébergement en 2005 est de 46 primates, 50 chiens, 10 chats, 20 marmottes, 460 rats et 650 souris. Des salles confinées A2 et/ou A3, des blocs opératoires, des salles d’examen et des laboratoires permettent d’évaluer l’efficacité du transfert de gènes et font de ce centre une plate-forme pour les essais précliniques chez les gros animaux. Aujourd’hui, plusieurs équipes l’utilisent pour du transfert de gènes dans la rétine, le système nerveux central, le foie et le muscle strié. En 2005, une dizaine de projets scientifiques se sont déroulés à Boisbonne, la quasi-totalité était soutenue par l’AFM. " Intégralité de la page ici. " La recherche nécessite de bons outils d’exploration et de bons outils d’expérimentation. C’est pourquoi l’AFM soutient les équipes qui développent des outils d’évaluation de la fonction musculaire ou contribuent à mener les essais pré-cliniques exigés par les agences réglementaires chez l’animal avant le passage aux essais chez l’homme." Intégralité de la page là. Chaque centime donné au Téléthon contribue à faire souffrir et sacrifier des animaux et à faire perdurer la mauvaise science basée sur l'expérientation animale.

     

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