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collectif limousin d'action militante pour les animaux - Page 12

  • LIMOGES LE 25 MAI HAPPENING CONTRE LA VIVISECTION.

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    Participez à Limoges samedi 25 mai 2013 à un nouveau Happening contre l’expérimentation animale pour protester contre l’utilisation des animaux dans les laboratoires d’expérimentation animale et exiger la promotion des méthodes de recherche et de tests sans animaux.

    Ville d’envergure régionale abritant de nombreux établissements qui pratiquent des expériences sur les animaux, Limoges est idéalement située pour permettre aux militants abolitionnistes de toute la France, et particulièrement des régions Centre, Ouest et Sud de s’impliquer dans cette nouvelle manifestation statique spectaculaire et silencieuse.

    Après les récents happenings STOP aux animaux dans les labos ! sur Avignon et Strasbourg, engagez-VOUS sur Limoges pour sensibiliser un public qui ignore tout ou presque de ce qui se passe derrière les murs opaques et épais des laboratoires ET exiger des autorités le développement et le financement massifs des méthodes de recherche et de tests sans animaux modernes, éthiques et performantes.

    L’impact de ce type d’action est fort sur le public. Nous vous invitons à regarder la vidéo d’un récent happening du même type qui a eu lieu à Avignon samedi 20 avril 2013 à l’occasion de la Journée Mondiale pour les animaux dans les Laboratoires (JMAL)

    L’inscription est obligatoire et s’effectue pour ce happening directement auprès de info@international-campaigns.org

    Pour en savoir plus : info[at]international-campaigns.org

    Nous sommes la voix des animaux élevés, exploités, torturés et assassinés dans les laboratoires !

  • Quand les tueurs agréés sont aux abois.

     

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    En HAUTE VIENNE, de grandes affiches disposées dans les lieux d'accueil du public, vantent la chance de vivre dans ce département qui offre le permis de chasser, la première année.
    Cette gratuité ne résulterait pas d'un cadeau de la collectivité territoriale mais de la fédération départementale des chasseurs.
    Il faut doublement s'en réjouir:
    D'une part, le département n'aura pas commis le délit de détournement de fonds publics.
    D'autre part et surtout, cette opération révèle la préoccupation des dirigeants du loisir de mort devant la diminution des adeptes de l'art de tuer.
    En fait, le nombre des chasseurs s'est réduit de plus de la moitié en trente ans.
    Si l'ONCFS annonce un million deux cent mille permis de chasser  validés chaque année, cela révèle que le nombre des traîneurs de fusils est inférieur à un million.
    En effet, un chasseur peutêtre titulaire de permis départementaux et d'un permis national et le nombre des validations, seul connu, est supérieur au nombre des chasseurs.
    Le fait qu'une fédération soit amenée à payer pour recruter est une excellente nouvelle.
    Bien sûr, le parlement Français perdure à être gangréné par un  invraisemblable "groupe chasse" et la presse fait preuve d'une indigence lamentable en recopiant sans le moindre esprit critique la propagande du lobby des ennemis de la nature.
    Evidemment, chaque année, les gazettes débiles annoncent de "nouveaux chasseurs", mais passent très vite sur le fait essentiel qu'il y en a davantage qui disparaissent.
    Ainsi, à terme, l'homme pourra établir avec le vivant une autre relation que celle du piège, du fusil et du poison en rétablissant une présence des grands prédateurs, une régulation naturelle de la faune, une nature diversifiée qui n'a rien à voir avec le cheptel artificiellement implanté par la chasse.
    car, contre les prétendues proliférations de sangliers, la chasse est le problème, la source et nullement la solution.
    L'animal, être sensible, n'est pas de la chair à fusil.
    La nature n'est pas un stand de tirs

    La chasse est une nuisance.

    Mais ces vérités, ces évidences, vous ne les lirez pas dans la presse débile qui récite les communiqués d'un lobby aux abois.

                 Gérard CHAROLLOIS

     

    CONVENTION VIE ET NATURE

     

    TEL 06 76 99 84 65
  • Les enfants : cibles des chasseur

     

    panneau

    Le lobby chasse veut la mainmise sur l’éducation à l’environnement !

    Bien que le prosélytisme soit illégal, les chasseurs ont déjà la liberté totale de pénétrer dans les écoles pour pratiquer à leur manière « l’éducation au développement durable ». Bientôt reçue par le Président de la République et le ministre de l’éducation nationale, la Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) entend maintenant leur extorquer une surveillance de tout le domaine pédagogique sur la nature, au mépris des professionnels et de la loi.

    Il s’agit d’un « Observatoire des pratiques pédagogiques sur l’éducation à l’environnement » que la FNC veut lancer avec la bénédiction de Vincent Peillon. L’exigence « pédagogique » des chasseurs montre leur mépris total pour les éducateurs nature, qui font déjà partout en France un excellent travail de sensibilisation aux enjeux de l’écologie, sans arrière-pensée de prosélytisme pour des intérêts privés ou pour un loisir contestable. Or, ces pédagogues professionnels de la nature n’ont jamais été reçus par les responsables politiques.

    En revanche, les représentants du lobby chasse ont déjà signé, le 4 mars 2010, un partenariat avec Jean-Louis Borloo et Luc Chatel, à l’époque Ministres respectivement de l’Écologie et de l’Éducation, pour « l’éducation au développement durable ». Malgré cette plaisante formulation, les réalités de terrain sont tout autres et montrent une réelle volonté de donner à nos enfants le goût de la chasse et des armes, récompenses et sandwichs au chevreuil à l’appui. Que faut-il de plus ? Anéantir toute approche objective et scientifique du monde vivant ?

    Les chasseurs sont loin de montrer le comportement exemplaire que l’on attendrait pour nos enfants. Lorsque Vincent Peillon était député de la Somme, sa permanence avait été saccagée par des chasseurs de CPNT en 1998, puis il a été accueilli à coups de pierres par des chasseurs en 2000, et sauvé de justesse par un hélicoptère de la gendarmerie… Se souviendra-t-il de ce potentiel de vertus pédagogiques du monde de la chasse ?

    Le Collectif « Non aux chasseurs dans les écoles ! » s’insurge avec force contre ce prosélytisme pourtant interdit et rappelle, aux ministres concernés, qu’il représente également des millions de parents et citoyens non chasseurs qui, eux aussi, savent voter.

    Associations signataires et membres du collectif : APIE, ASPAS, Association pour la défense des victimes de la chasse, AVES France, Bonnelles nature, CACC, CPEPESC Franche-Comté, CPEPESC Nationale, CPN Brabant, CROC BLANC, CVN, Droits Des Animaux, Fondation Brigitte Bardot, Frapna Savoie, GEOB, GDEAM, IDAE, L214, Le Sanctuaire des hérissons, Loire Vivante Nièvre Allier Cher, LPO Nationale, LPO Rhône Alpes, LPO Drôme, MELES, Mille Traces, Nature Centre, Nature et Humanisme, Ni Homme – Ni Objet, Oiseau nature, One Voice, Perche Nature, Pro’eco, RAC, Serre Vivante, SPA Nationale, Stop violence France, Veg’Asso…

  • Le « choix de Sophie » d'une vache laitière

    Les vaches, comme les humains et tous les autres mammifères, ne produisent du lait que lorsqu'elles ont enfanté. En élevage, chaque année les vaches « laitières » sont inséminées pour donner naissance à un veau. Mère et nouveau-né sont séparés après 24h, malgré l'intensité du lien qui les unit.

    Le récit ci-dessous raconte l'histoire d'une vache ayant donné naissance à des jumeaux et qui tenta de sauver l'un de ses petits, en effectuant un choix similaire à celui du personnage de Sophie dans le roman de William Styron, "Le choix de Sophie". Devant la menace de perdre ses deux enfants dans un camp d'extermination, Sophie avait été contrainte d'en livrer un dans l'espoir de sauver l'autre.

    Les vaches laitières sont des mamans privées de leurs petits. Avant le verre de lait, il y a la douleur d'une mère et la détresse d'un nouveau-né.

    vache et veau, une famille

    Par le vétérinaire Holly Cheever

    " J'aimerais vous raconter une histoire touchante et vraie. Après avoir obtenu mon diplôme à l'école vétérinaire de Cornell, j'ai fréquemment exercé dans les exploitations laitières de Cortland. J'y étais appréciée du fait de la douceur de mes interventions sur les vaches.

    L'un de mes clients me sollicita un jour pour résoudre un mystère : la veille, dans une prairie, l'une de ses vaches Brune des Alpes avait mis bas pour la cinquième fois dans sa vie. Une fois rentrée à la ferme avec son nouveau-né, son veau lui fut retiré, et elle, conduite en salle de traite. Mais son pis était vide, et il le resta pendant plusieurs jours.

    Après la naissance de son veau, cette vache aurait dû produire près de 47 litres de lait par jour. Cependant, et en dépit du fait qu'elle se portait bien par ailleurs, son pis restait vide. Elle partait au pré le matin après la première traite, revenait pour la traite du soir, et restait la nuit en prairie – c'était un temps où les bovins étaient autorisés à profiter un minimum de certains plaisirs au cours de leur vie – mais jamais son pis n'était gorgé de lait comme celui d'une vache qui a mis bas.

    Je fus appelée deux fois sur place pendant la première semaine suivant son accouchement, mais je ne trouvai aucune explication. Finalement, le onzième jour, l'éleveur m'appela : il avait trouvé la réponse : la vache avait donné naissance à des jumeaux, et par un « choix de Sophie », elle avait livré l'un de ses veaux à l'éleveur et gardé l'autre dans un bois en bordure de prairie. Chaque jour et chaque nuit, elle retrouvait et nourrissait son petit – le seul qu'elle ait jamais pu garder auprès d'elle. Malgré mes efforts pour convaincre l'éleveur de laisser la mère et son petit ensemble, il lui fut enlevé et envoyé dans l'enfer des box à veaux.

    Pensez un instant au raisonnement complexe élaboré par cette maman. Premièrement, elle se rappelait la perte de ses précédents petits et la conséquence de rentrer avec eux à la ferme : ne plus jamais les revoir (une situation déchirante pour toute mère mammifère). Deuxièmement, elle formule un plan et l'exécute : si ramener son veau à la ferme signifie le perdre inévitablement, alors elle installera et cachera son autre petit dans les bois, comme les biches, jusqu'à son retour. Troisièmement – et je ne sais comment l'expliquer – au lieu de cacher les deux veaux, ce qui aurait attiré la suspicion de l'éleveur (une vache gestante quittant la ferme le soir, la même vache revenant au matin non-gestante mais sans progéniture), elle lui en a donné un et gardé l'autre. J'ignore comment elle a pu faire cela – il aurait été plus probable qu'une maman désespérée tente de cacher ses deux petits.

    Tout ce que je sais, c'est qu'il se passe derrière ces yeux magnifiques beaucoup plus de choses que nous, humains, n'avons jamais voulu voir. En tant que maman, qui ai pu élever mes quatre enfants, et n'ai pas eu à souffrir de la perte d'un seul d'entre eux, je ressens sa douleur."

    Holly Cheever, Docteur en médecine vétérinaire
    Vice Presidente du New York State Humane Association
    traduit du site AllCreatures.org

  • LE FILM ALF A GUERET LE 22 JANVIER

     

    L'association CAUSA présente un cine-débat avec le film A.L.F. & invite Patrick SACCO, mardi 22 janvier à 20h

  • Témoignage



    "J'en ai assez de toujours répéter la même chose, répéter sans arrêt que les animaux vivent dans des conditions atroces, qu'ils sont battus, maltraités pour au final être mangés , que notre consommation de viande aura pollué, participé à la faim dans le monde.

    J'en ai marre que les gens mangeant de la viande préfèrent se voiler la face, alors qu'à la vue du sang ils s'évanouiraient !

    Regardez ce bébé cochon, c'est le même que dans vos assiettes, un petit être vivant qui n'a même pas demandé à vivre, on insémine la mère artificiellement plusieurs fois par ans, c'est de la souffrance, du viol, vous pouvez la voir sur le coté de la photo, elle est enfermée dans une petite stalle, elle ne pourra jamais bouger, elle subira les pires traitements qu'il n'ait jamais existé au 21eme siècle !

    Le 21eme siècle est le pire siècle pour les animaux, un génocide planétaire, 56 milliards d'animaux par an tués dans le monde, des billions de poissons et cela participe à la mort de millions, voir de milliards d'humains !

    Oui nous respectons vos choix, mais respectez vous celui des animaux ? Leurs droits fondamentaux sont-ils respectés ? Nous n'avons pas le droit de maltraiter ainsi les êtres vivants.

    Vous allez encore me dire que les plantes sont également des êtres vivants, mais en mangeant de la viande on tue 7 à 10 fois plus de végétaux, car pour 1 kilos de viande, il faut 7 à 10 kilos de végétaux.

    Lire : http://www.viande.info/"

    Alexis (Cause Animale Nord)

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